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Date de création : 13.04.2010
Dernière mise à jour : 14.02.2019
16 articles


La jeune Satyia aime aller à l’école.

Publié le 14/02/2019 à 12:11 par mysoue Tags : jeux enfants maison
La jeune Satyia aime aller à l’école.

Dans les zones les plus reculées et les moins développées d’Inde, de nombreux enfants âgés de 3 à 6 ans, accueillis dans les maternelles communales, n’ont pas les conditions favorables à leur sain développement et épanouissement, dont leurs jeunes esprits ont tant besoin. Karuna Shechen participe à changer cela !
Leur programme de développement de la petite enfance fournit des jeux et jouets, forme les éducatrices aux méthodes de pédagogie. Leurs projets dans le domaine de l’éducation soutient des écoles pour que les enfants puisse dès leur plus jeune âge recevoir une éducation de qualité.
« Notre école maternelle a été complètement transformée depuis que Karuna-Shechen nous soutient », explique Krishnadevi, une assistante maternelle dans le village reculé de Gopalkhera. « Les enfants s’amusent ensemble et apprennent beaucoup mieux en jouant ».
Satyia tient son nounours serré contre elle. À tout juste cinq ans, c’est avec joie qu’elle se rend chaque matin dans la maternelle de son village, équipée et soutenue par Karuna-Shechen. « J’adore venir ici. À la maison, je n’ai pas de jouets. Ici, il y en a plein » explique-t-elle. « Mon préféré, c’est lui, Winnie ! »

Karuna-Shechen

Publié le 14/02/2019 à 12:08 par mysoue Tags : vie travail femmes
Karuna-Shechen

Karuna-Shechen est né du souhait de Matthieu Ricard de faire du bien à ceux qui en ont le plus besoin au travers d’actions altruistes et utiles, en faveur des habitants de la région de l’Himalaya.
C’est en poursuivant cette vision d’un altruisme soigneusement planifié et efficace qu’après 19 ans d’existence, Karuna-Shechen améliore les conditions de vie de plus de 250 000 personnes chaque année, dans les villages isolés du nord de l’Inde, du Népal et du Tibet oriental.
L’amour et la compassion guident leur travail et se reflètent dans tous les projets à fort impact qu'ils entreprennent ; de l’éducation aux soins de santé, en passant par l’autonomisation des femmes et l’aide au développement des villages de ces régions.

Une belle journée...

Publié le 14/02/2019 à 11:08 par mysoue Tags : sur monde presse
Une belle journée...

Rien ne presse... Sachez prendre du temps pour vous... Faites une vraie pause dans ce monde qui court... Débranchez les sonneries... Faites ce que vous aimez et soyez vraiment présent à ce que vous faites... Ne culpabilisez pas de penser un peu à vous... Soyez en accord avec vos aspirations, vos envies, vos choix... Mieux vous serez avec vous-même et mieux vous serez avec les autres... Ne voyez pas plus loin qu'aujourd'hui... Namasté

Matthieu Ricard, la Bienveillance à l'état pur...

Publié le 13/02/2019 à 10:42 par mysoue Tags : homme vie sur bonne chez amour enfants message voyage livres maison aime lecture
Matthieu Ricard, la Bienveillance à l'état pur...

L’interview dont cet extrait est tiré a été réalisée par la journaliste Anja Jardine pour le journal Neue Zürcher Zeitung.


Monsieur Ricard, vous êtes né en 1946 mais vous dites que votre vraie vie n’a vraiment commencé que le 2 juin 1967. Que s’est-il passé ce jour-là ?


J’ai rencontré mon premier maître, le sage Kangyour Rinpoché, à Darjeeling. Il habitait une minuscule cabane en bois, avec son épouse, deux de ses filles et son plus jeune fils, ainsi qu’un calligraphe qui copiait des textes. Kangyour Rinpoché avait alors 70 ans. Il était adossé à une fenêtre et rayonnait de bonté. Je n’avais aucune idée de ce qui allait m’arriver, mais je suis resté trois semaines, assis à méditer en sa présence.


Comment avez-vous su qu’il était un maître ?


Il émanait de lui une force, une tranquillité et un amour difficiles à décrire. Sans comprendre la langue, je pouvais sentir la perfection de cette personne. Il y avait là quelqu’un doté d’une immense sagesse, d’un amour humain parfait – pas une gentillesse superficielle, mais quelque chose d’infiniment généreux et bienveillant. On peut ressentir le rayonnement d’une présence, comme c’est aussi le cas avec le Dalaï-Lama ; c’est une dimension totalement différente de ce qu’on rencontre habituellement. Ces maîtres tibétains sont l’image de ce qu’ils prêchent. Même après de nombreuses années, au cours desquelles j’ai appris à mieux le connaître, lui et d’autres maîtres, je n’ai jamais trouvé de défauts cachés. Les paroles et les actes concordent dans une parfaite authenticité. C’est bien rare à notre époque.


Jeune homme, vous connaissiez déjà de nombreuses personnalités impressionnantes. Votre père était le philosophe Jean-François Revel, votre mère est l’artiste Yahne Le Toumelin – le Tout-Paris intellectuel allait et venait dans la maison de vos parents.


Oui, des philosophes, des mathématiciens, des musiciens, des peintres, des scientifiques, des comédiens, des penseurs, beaucoup de têtes connues venaient chez nous. Ma mère faisait la cuisine pour tous, c’était une très bonne cuisinière. Assurément, cet environnement était enrichissant à de nombreux égards, mais cela ne m’a jamais vraiment touché. Je ne voyais pas de corrélation entre leur génie particulier, que j’aurais sans doute aimé acquérir, et leurs qualités humaines. Bref, je ne voulais pas devenir comme eux. Quand on prend cent jardiniers, cent philosophes, cent musiciens, on obtient toujours le même mélange de gens merveilleux, ennuyeux, difficiles, odieux; je trouvais cela déconcertant. Il ne s’y trouvait pas d’exemples pour mener mon existence. Le talent ou le génie dont ils faisaient preuve dans leur domaine ne s’accompagnait pas de simples vertus humaines comme l’altruisme, la bonté ou la sincérité. Je ne voulais pas admirer quelqu’un uniquement pour ses capacités, mais comme être humain. Quelqu’un avec qui on aime vraiment être, mais ce n’est pas arrivé très souvent.


Comment êtes-vous venu au bouddhisme ?


Dans ma jeunesse, j’ai développé un certain intérêt pour la spiritualité. Ma mère et mon oncle, le navigateur Jacques-Yves Le Toumelin me parlait beaucoup de ces sujets. Je lisais beaucoup de livres, mais rien de vivant, pas de véritable pratiques spirituelles. Lorsqu’un ami cinéaste, Arnaud Desjardins, nous a monté ses documentaires sur la vie de maîtres tibétains, qui étaient en cours de montagne (Le message des Tibétains, Les enfants de la sagesse, Le lac des yogis) je me suis tout de suite dit que c’est là où je devais aller. En 1967, je suis parti pour Darjeeling, avec un petit dictionnaire de voyage, car je ne parlais pas l’anglais, à l’école j’avais appris le latin, le grec et l’allemand. Et le premier que j’ai rencontré est devenu mon maître principal : Kangyour Rinpoché.
"Dans la méditation, on apprend à reconnaître les sentiments qui causent de la souffrance, comme la colère, l’orgueil ou la jalousie, à s’en distancier et finalement à les dissoudre."


Qui était cet homme ?


La transmission orale joue un grand rôle dans le bouddhisme, aujourd’hui encore. Kangyour Rinpoché était notamment connu comme un maître du Tripitaka, le corpus des enseignements du Bouddha : il a lu pas moins de vingt et une fois cette collection de 103 volumes et en a donné onze fois la transmission intégrale par la lecture. Il n’était pas moine, comme le Dalaï-Lama. C’était un yogi et il avait une famille. Deux de ses fils sont aujourd’hui mes maîtres spirituels.

Détendez-vous...

Publié le 13/02/2019 à 00:56 par mysoue Tags : air
Détendez-vous...

Bach... Mon air favori...

Écoutez...

Détendez vous et laissez vous porter par les notes...

Sans prétention aucune...

Publié le 19/04/2010 à 20:10 par mysoue
Sans prétention aucune...

Le français est une langue magnifique.... et sans aucune prétention je ne supporte pas les fautes d'orthographe...

Peut-être qu'il m'arrive d'en faire, je ne suis pas infaillible et je le reconnais volontiers, mais s'il vous plait, si vous souhaitez laisser votre trace ici, essayez le temps de trois lignes de faire attention à votre orthographe...

Juste pour le plaisir de vous lire...

Tu seras un homme, mon fils.

Publié le 16/04/2010 à 13:02 par mysoue
Tu seras un homme, mon fils.

Si tu peux rester calme alors que, sur ta route,
Un chacun perd la tête, et met le blâme en toi ;
Si tu gardes confiance alors que chacun doute,
Mais sans leur en vouloir de leur manque de foi ;
Si l'attente, pour toi, ne cause trop grand-peine :
Si, entendant mentir, toi-même tu ne mens,
Ou si, étant haï, tu ignores la haine,
Sans avoir l'air trop bon, ni parler trop sagement ;

Si tu rêves, – sans faire des rêves ton pilastre ;
Si tu penses, – sans faire de penser toute leçon ;
Si tu sais rencontrer Triomphe ou bien Désastre,
Et traiter ces trompeurs de la même façon ;
Si tu peux supporter tes vérités bien nettes
Tordue par des coquins pour mieux duper les sots,
Ou voir tout ce qui fut ton but, brisé en miettes,
Et te baisser, pour prendre et trier les morceaux ;

Si tu peux faire un tas de tous tes gains suprêmes
Et le risquer à pile ou face, – en un seul coup –
Et perdre – et repartir comme à tes débuts mêmes,
Sans murmurer un mot de ta perte au va-tout ;
Si tu forces ton coeur, tes nerfs, et ton jarret
À servir à tes fins malgré leur abandon
Et que tu tiennes bon quand tout vient à l'arrêt,
Hormis la Volonté qui ordonne : « Tiens bon ! »

Si tu vas dans la foule sans orgueil à tout rompre,
Ou frayes avec les rois sans te croire un héros ;
Si l'ami ni l'ennemi ne peuvent te corrompre ;
Si tout homme, pour toi, compte, mais nul par trop ;
Si tu sais bien remplir chaque minute implacable
De soixante secondes de chemins accomplis,
À toi sera la Terre et son bien délectable,
Et, – bien mieux – tu seras un Homme, mon fils.

 

Rudyard Kipling.

Huis clos de Jean-Paul Sartre

Publié le 14/04/2010 à 18:57 par mysoue
Huis clos de Jean-Paul Sartre

Résumé de Huis Clos

Un garçon d'étage introduit dans un salon Style Empire, Garcin le journaliste-publiciste, Inès l'ancienne employée des Postes et Estelle, la mondaine. Ainsi débute un hallucinant huis clos. Ils vont se livrer un combat de mots qui leur fera réaliser le sens de la vie et de la mort. Ils s'interrogent sur leur damnation et se cachent sous le masque de la "mauvaise foi". Chacun a besoin de l'autre pour exister, prendre conscience de soi; le regard d'autrui est aussi une menace.

La violence, l'humour, le désespoir et la révolte traversent cette pièce d'une simplicité diabolique et à la mécanique implacable.

 

Personnages

Garcin, journaliste. Il a été fusillé en raison de sa fidélité au pacifisme. Il croit qu'il est un héros. Il se montre pourtant perfide.

Inès, une ancienne employée des Postes, lesbienne . Elle a fait voler en éclat le couple de sa meilleure amie. Elle est morte asphyxiée par le gaz.

Estelle, femme d'un vieil homme riche. Elle a été la maîtresse d'un jeune homme et a commis le meurtre d'un enfant. Elle est morte d'une pneumonie. Elle ne cesse de frauder avec la vérité.

Citations de Huis Clos

 

On meurt toujours trop tôt ou trop tard.(Inès)

  Le bourreau c'est chacun de nous pour les deux autres. (Garcin)

 Ça m'est égal, lâche ou non pourvu qu'il embrasse bien. (Estelle)

 Alors c'est ça l'enfer.Je ne l'aurais jamais cru…

Vous vous rappelez : le souffre, le bûcher, le gril.. Ah quelle plaisanterie. Pas besoin de gril, l'enfer c'est les autres.

Moi, je suis méchante : ça veut dire que j'ai besoin de la souffrance des autres pour exister.

Une torche. Une torche dans les cœurs.

Quand je suis toute seule, je m'éteins...

 

Crédo pour la vie.

Publié le 14/04/2010 à 18:41 par mysoue
Crédo pour la vie.

Ne te sous-estime pas en te comparant aux autres
C'est précisément parce que nous sommes tous différents
que nous sommes tous uniques.

Ne fixe pas tes buts en fonction des autres.
Toi seul sais ce qui est bon pour toi.

Sois toujours à l'écoute de tes plus profonds désirs.
Tiens à eux comme tu tiens à la vie, car sans eux, la vie n'est rien.

Ne laisse pas la vie filer entre tes doigts
en songeant au passé ou en rêvant à l'avenir.
Vis ta vie jour après jour, et tu vivras ainsi intensément
chaque jour de ta vie.

Ne baisse pas les bras tant que tu as encore quelque chose à donner.
Rien n'est jamais perdu.. tant que tu continues de lutter.

N'aie pas peur d'admettre que tu n'es pas parfait.
C'est ce lien fragile qui nous relie les uns aux autres.

N'aie pas peur de prendre des risques.
C'est en prenant des risques que le courage s'apprend.

N'écarte pas l'amour de la vie en prétendant qu'il n'existe pas.
Le meilleur moyen de trouver l'amour est de le donner ;
le meilleur moyen de le perdre est de le retenir prisonnier ;
et le meilleur moyen de le garder est de lui donner des ailes.

N'étouffe pas tes rêves.
Ne pas avoir de rêve, c'est être sans espoir ;
être sans espoir, c'est errer sans but.

Ne fuis pas en avant tout au long de ta vie
de sorte que tu oublies d'où tu viens et où tu vas.
La vie n'est pas une course,
mais un voyage dont il faut savoir goûter chaque étape.

Poème de Nancye Sims




  

 

Juste pour le plaisir des yeux....

Publié le 14/04/2010 à 18:31 par mysoue
Juste pour le plaisir des yeux....

Val André...

(photo perso)